Les générations s’amènent vers sa recherche et sa découverte en tâtonnant sans savoir que c’est lui, le Dieu de tous les temps ! Aucune génération ne sut comment le chercher et le trouver, mais dans son amour grand, il est venu vers elle, et s'est laissé trouver.
Chers lecteurs, c’est un recueil de loi arbitraire et polyvalent, le décret des écrits de notre histoire, un seul appel, une seule histoire, dans une pure nature plurivalente. Les poètes l’ont décrit, les philosophes l’ont décrété, les chanteurs aussi l’ont fredonné à petit souffle élogieux. Ils content ses histoires de douleurs, de trahisons, de rejets, d’amour… L’évangile chers lecteurs est un grand art, un chef-d’œuvre, le portrait de Dieu, l’expression vivante de l’authentique, le langage même de la douleur et son épreuve, le regard du persécuté, le visage de la vérité sur la découverte de l’apparence véritable de notre âme et esprit. C’est la connivence entre le coeur et le rein, le prestige vivant de l’apparent divin, le mystérieux appelé « YHWH » qui vint de l’invisible, le vagabond dans le désert en balade au visage nu, le son de l’appel des novateurs, la preuve de la vertu et du pouvoir, l’empreinte de la résurrection. Et aucune pensée ni raisonnement n’a été jugé avec autant d’injustice et de critique dans toutes les langues, et cela dans n’importe quelle génération. Car il décrit le parfait génie du divin invisible dans l’humain, l’expression explicite de la pensée et la puissance de la parole créatrice. Il transporte vers les prérogatives et fait quitter le rebord du rivage des bornés, celui qui laisse les âmes des générations exprimer et expérimenter l’inexprimable, les pousse à des confessions troublantes et leur donne la Foi pour travailler !
Chers lecteurs, un seul raisonnement suffirait peut-être pour tout affirmer, mais on ne précise « YHWH » qu’en vivant une seule vie, mais les années passent, une génération passe, déclare la nouvelle ! Tandis que la nouvelle se repose sur elle et interpelle sa génération. Pour chaque génération comme nous le savons, il y a de grandes responsabilités pour l’innovation, et pour chaque changement évoqué, il nous faudrait envisager une grande rénovation. Les rénovateurs, les précurseurs, préconisent donc le bon fondement pour un avenir plus sûr et radieux. Chacune de ces générations récidive avec flamme, la soif d’interpeller, néanmoins pour chaque régiment du départ, la victoire est évoquée, la réussite est réclamée, l’excellence est désirée, et bien plus encore, et si vous êtes de ma génération et que vous vivez dans mon monde aujourd’hui en 2018 vous savez sûrement de quoi je parle. C’est l’exercice de l’existence qui pousse les générations à la recherche pour connaître la connaissance, et la mienne ne fait pas exception, et pour certaines il est indispensable de pousser la pensée au-delà du pensable et tenter de décrire l’inconnaissable. Et d’un œil plus attentif, nous pouvons observer l’obtention des cœurs aiguisés, et à en croire le discours de la bouche de nos aïeux, le bonheur des générations est souvent associé au besoin essentiel de savoir et de connaître. Et ne vous y trompez pas, en grande partie, ceux qui disent être heureux, sont ceux qui ont exactement décidé d’ignorer les fondamentaux essentiels de l’exercice de leur existence.
Une grande recherche amène chaque génération à des découvertes, et peu à peu, peu importe la découverte, si cela répond à l’apparence de la réalité dont la génération s’illusionne, et si cela la rapproche trop près, assez pour détailler, assez près pour que cela lui occupe la pensée, il est évident que celle-ci soit comblée de son charme, qu’elle se laisse convaincre de son exactitude, bien-sûr, bien qu’il y ait des Hommes de caractère que les révolutions ne peuvent persuader. La recherche pour connaître la connaissance pourrait avoir, dans son apparence imagée, le pouvoir de la conviction, de prouver. Selon les aïeux, elle nous plongerait dans une triste réalité, non résolue au préalable, à savoir que certaines choses dans cette folle existence, sont tout simplement insaisissables. Justement, puisque les générations se plongent dans la recherche, l’exercice d’observation s’accroît, elles s’avanceront davantage, à cause du curieux sentiment sensationnel que cela pourrait leur procurer, le besoin évident d’aller au-delà, de faire bien plus, et bien plus encore. Ainsi elles poursuivront leur quête, leur exercice sera dense, leur dévotion sera forcenée, comme ce sentiment de quelque chose qui « échappe », cela occupera la place du contentement, de l’assouvissement, selon nos aïeux, c’est cela qui les rendra obsessionnelles, comme le constat d’un fil qui dépasse sur l’épaule d’un manteau. Il est possible que l’avenir qui les obsède soit cette réalité insaisissable, soit aussi un vrai champ de bataille d’irrésolution et d’incertitude qui effraie.
En tout point de vue ! Pour certaines seulement, pour celles qui recherchent sans ignorer les fondamentaux essentiels de l’exercice de leur existence. Cela pourrait rendre certaines facultés de notre bonheur de ce temps présent, handicapées, imparfaites et bien plus encore impensables à saisir pleinement.
C’est fascinant n’est-ce pas ?! De voir des générations courir avec ardent désir sans faire recours !!! La course des générations est bien réelle et le ministère de notre créateur, Dieu le Père, n’est point insoluble, mais parfaitement accessible pour qu’il nous laisse le trouver. Les générations s’amènent vers la recherche et la découverte en tâtonnant sans savoir que c’est le Dieu de tous les temps, le plus anciens des aïeux vers qui elles accourent, ce sont son mouvement et son être. Les générations se responsabilisent, pour l’innovation, pour les rénovations et pour le changement ; bien plus tard, elles feront face à face avec celui vers qui elles accourent sans recours pour le salut de leurs âmes et esprits. C’est Dieu l’ancien des âges, qui les laisse siéger dans la recherche ignorante et la connaissance vaniteuse, fantaisiste ; il les fait tituber et épuise le crédit de leurs jours sur cette terre où il les a installées, il les laisse nues et sans fraîcheur, elles se ruinent et s’usent dans la foulée des pieds et passent plus vite que le vent de la poussière des saisons.
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Chers lecteurs, les années passent et l’évangile de Jésus-Christ demeure ! Sa parole demeure puissante et résonne éternelle comme il l’a si bien prédit. Elle demeure toujours aussi tranchante au bout du compte, elle traverse des générations et ne subit aucune rouille, aucune usure, elle n’a point été rangée, ni placardée, car elle a été une incitation indéniable pour le cœur humain, même pour les consciences les plus créatives, elle est demeurée inaliénable, un déchiffrage de notre raison d’être, une requête à deviner pour certains, une faculté de démêler, pour d’autres, une démarche pour trancher jusqu’à dénouer tous les sujets de notre réalité qui se trouve être étroitement serrée. Elle est demeurée efficace entre les mains de nos aïeux, elle l'est également pour nous, cette génération ! Si vous êtes de ma génération, je pense que vous commencez à soupçonner de quoi je parle. Elle demeure profonde, et pénétrante dans nos âmes, elle est de nos jours, la survie de l’expression d’une société de l’ancien régime, elle a transmis avec exactitude le dernier sentiment des cris des âmes de nos aïeux martyrisés et elle a suscité suffisamment, pour des générations en randonnée sépulcrale, le courage d’avancer tels des condamnés à mort, et plus encore, elle reste comme une devise d’une monnaie universelle, un moyen d’échange entre plusieurs générations, un médiateur entre l’humain et le divin.
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Chers lecteurs, je n’ai aucune envie de conclure, mais parmi les soudains spectateurs, parmi les chanteurs les plus enthousiastes, parmi les conducteurs des artistes, j’assume une tâche de charge, pour la perruque ministérielle que notre Seigneur nous laisse porter comme un signe de son serment pour l’honorer comme ses sujets présents ! Avec beaucoup d’ardeur et comme un jeune homme, je m’avance et souhaite triompher sur celui qui ôte tout espoir dans les esprits des héros du changement, au nom de Jésus-Christ !!! Et à cause de cette saine terreur trompeuse, froide qui nous divise, je porte en moi un appel auquel je compte bien répondre avec ardeur. Et compte tenu de tous les enjeux de ces jeunes âmes en course vaniteuse, en raison esthétique et fantaisiste, je propose et je vous invite à la recherche et découverte, car je suis moi-même de cette génération comme étant envoyé pour être témoin et fidèle à la parole tranchante. Et si vous comme moi, vous comptez ces histoires tranchantes de douleurs, de trahisons, de rejets, d’amour, laissez-moi vous le dire couramment, c’est notre apparence, c’est une seule apparence véritable de notre âme et esprit, c’est aussi le seul exercice de notre existence, sa seule exigence, son unique appel, l’expression vivante de l’authentique, le seul chemin pour exprimer et expérimenter l’inexprimable, c’est notre job, le travail de notre Foi.
Merci à vous chers lecteurs, d’avoir pris ces quelques instants précieux pour découvrir et lire ma Préface. N’hésitez pas à me laisser un petit mot, une trace de votre visite. Et bien sûr, si vous avez des questions ou des commentaires, sentez-vous libre, je suis tout ouïe.